Car le don n’est pas totalement corrélé au niveau de vie, mais s’appuie aussi sur un socle de valeurs et de sentiment d’appartenance. Les valeurs d’une organisation sont un des critère pris en compte dans l’acte de don, par 21 % des français et 27 % des donateurs réguliers. La priorité des causes diffère aussi en fonction des alignements politiques et partisans. C’est notamment ce qu’a montré une étude commandée par France Générosités et présentée lors du colloque.

Lors de la table-ronde animée par Laurence Lepetit, déléguée générale de France Générosités, Jérôme Fouquet (directeur du département Opinion et stratégies d’entreprise de l’IFOP), Charlène Petit (Fondatrice de l’agence Facteur D), Charles Sellen (chercheur en philanthropie Carleton University) et Camille Chaserant (Chaire ESoPS) sont intervenus sur  la question des liens entre don et cohésion sociale. Le don est-il vecteur de cohésion sociale et/ou la cohésion sociale est-elle facilitatrice de don ?

Retrouvez l’intégralité du colloque sur le lien ci-dessous.